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This is the question on everyone’s mind. And while we’re certainly not still living in the outrageousness that was the market of 2017, you’d be hard pressed to find enough evidence to support a projection of a total crash any time soon. It appears as though most experts are saying 2019 will be a sluggish year – nothing more, nothing less.<h2>&nbsp;The first quarter</h2>&nbsp;Overall, the first quarter of 2019 was relatively steady. Sales went down by only 1% in comparison to the first quarter of 2018 (which may not be saying much since the first part of 2018 was very slow), the number of new listings went down by 1.5% and the average sale price went up by 1.1%.&nbsp;While there was a continued decline in new development launches and sales, construction in the GTA reached record highs! It’s ironic to see that during the first quarter of 2019, pre-sale launches were lower than they’ve been in 10 years, growth in sale prices has slowed down considerably and yet the number of construction projects hit record-breaking numbers. This is attributed to the 2017 spike in new openings, which are now developments that have reached their construction phase.&nbsp;Condominium prices still rose, but increases were less substantial than those we saw in the period from 2016 to 2018.<h2>&nbsp;What’s happening right now</h2>&nbsp;In April of 2019, the GTA saw a substantial year-over-year increase in home sales. Transaction numbers jumped up by 16.8% and sales were up 11.3%, compared to March. It appears as though April acted as a “catch-up month” for the GTA residential real estate market after a slow start to the year in Q1. Price growth was driven by the condo market and the higher-density low-rise market segment, whereas the price for detached homes has fallen year-over-year. This indicates that the OSFI stress test has hit the detached housing market the hardest, probably due to the fact that this segment has the highest price point on average.&nbsp;And don’t get your hopes up too high about April’s rebound because even though sales were up, they still remain well below the levels April has seen for the majority of the last decade.&nbsp;In May, we see another element come into play. The Ontario government finally released new numbers that reflect the number of non-resident, foreign-buyer home purchases in the GTA since the implementation of the foreign buyers tax. The tax appears to be having the intended effect since foreign buyers made up 5-10% of the market prior to the tax and only 4.7% in the month following the tax implementation. Now, two years later, the foreign buyer market has slowed to a mere trickle.&nbsp;But don’t get discouraged!&nbsp;Those hot April numbers have many realtors expecting May and June to be hectic months in comparison to this year’s slow first quarter. Not only is the number of new listings poised to surge, but the quality of those listings also appears to be rising. And if that proves to be true, this could take those buyers sitting on the sidelines and bring them to the signing table.<h2>&nbsp;What to expect in the months ahead</h2>&nbsp;As always, there are many factors at play that ultimately dictate the state of Toronto’s real estate market. The forecast coming from most key industry players is that the market will remain on the slower end, but steady.&nbsp;Did you know?A recent study by the Government of Ontario says that Toronto will grow to a population of over 9 million by the year 2041.Over the last 10 years, Toronto real estate has gone up 131%.Prices remain strong – regardless of a dwindling market and condos pushing down the average home sale price.Crash? Not likely. And from a long-term standpoint, these are just a few of the factors that indicate Toronto’s status as a world-class city, which in turn, supports a strong real estate market.

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WHAT IS THE STATE OF TORONTO RESIDENTIAL REAL ESTATE MARKET IN 2019?

Voilà la question que tout le monde se pose. Et bien que nous ne vivions certainement plus dans l’effervescence qu’était le marché de 2017, il serait difficile de trouver suffisamment de preuves pour étayer la projection d’un krach total dans un avenir rapproché. La plupart des experts semblent dire que 2019 sera une année léthargique – sans plus ni moins.<h2 style="margin-left:0px;">Le premier trimestre</h2>&nbsp;De façon générale, le premier trimestre de 2019 s’est avéré relativement stable. Les ventes n’ont diminué que de 1&nbsp;% comparativement au premier trimestre de 2018 (ce qui n’est peut-être pas très parlant puisque le début de 2018 a été très lent), le nombre de nouvelles inscriptions a diminué de 1,5&nbsp;%, et le prix de vente moyen a augmenté de 1,1&nbsp;%.Malgré un déclin continu dans le lancement de nouveaux développements et les ventes, la construction dans la RGT a atteint de nouveaux sommets! Il est ironique de constater que durant le premier trimestre de 2019, les lancements de prévente étaient inférieurs à ce qu’ils ont été en 10&nbsp;ans, la croissance des prix de vente a considérablement ralenti et, pourtant, le nombre de projets de construction s’est élevé à des niveaux records. Cela est attribuable aux nouvelles ouvertures qui ont culminé en 2017 et qui se traduisent maintenant par des développements ayant atteint leur phase de construction.&nbsp;Les prix des condominiums ont encore augmenté, mais ces hausses se sont avérées moindres que celles que nous avons connues pour la période de 2016 à 2018.<h2 style="margin-left:0px;">Ce qui se passe actuellement</h2>En avril&nbsp;2019, la RGT a enregistré une hausse substantielle par rapport à l'an dernier dans la vente de maisons. Le nombre de transactions a fait un bond de 16,8&nbsp;%, et les ventes ont augmenté de 11,3&nbsp;% par rapport à mars. Avril semble avoir été un «&nbsp;mois de rattrapage&nbsp;» pour le marché de l’immobilier résidentiel de la RGT après un début d’année tranquille au premier trimestre. La croissance des prix a été portée par le marché des condos et le segment du marché des habitations basses à densité élevée, alors que le prix des maisons individuelles a diminué par rapport à l’an dernier. Cela indique que la simulation de crise du BSIF a touché plus durement le marché du logement individuel, probablement parce que ce segment détient le prix moyen le plus élevé.&nbsp;Mais ne vous faites pas trop d’illusions avec ce rebond d’avril, car même si les ventes ont augmenté, elles demeurent bien en deçà des niveaux enregistrés en avril pour la majorité des dix dernières années.En mai, un nouvel élément entre en jeu. Le gouvernement de l’Ontario a finalement rendu publiques de nouvelles données qui reflètent le nombre d’achats de maisons par des acheteurs étrangers non résidents dans la RGT depuis la mise en application de la taxe pour les acheteurs étrangers. Cette taxe semble avoir les effets escomptés puisque les acheteurs étrangers sont passés d’une représentation de 5&nbsp;% à 10&nbsp;% du marché avant la mise en application de la taxe à seulement 4,7&nbsp;% dans le mois suivant son entrée en vigueur. Aujourd’hui, deux ans plus tard, les acheteurs étrangers ne composent plus qu’un mince filet du marché.Mais ne vous découragez pas!Ces chiffres fulgurants d’avril font dire à bien des agents immobiliers que mai et juin seront des mois effervescents par rapport au premier trimestre lent de cette année. Non seulement le nombre de nouvelles inscriptions devrait exploser, mais la qualité de ces inscriptions semble également être à la hausse. Et le cas échéant, cela pourrait amener les acheteurs qui restaient sur la touche à s’asseoir à la table de signature.<h2 style="margin-left:0px;">À quoi s’attendre pour les mois à venir</h2>Comme toujours, il y a de nombreux facteurs en jeu qui dictent ultimement l’état du marché immobilier de Toronto. Selon ce que prévoient la plupart des acteurs clés de l'industrie, le marché demeurera au ralenti, mais stable.Le saviez-vous?Une récente étude du gouvernement de l’Ontario indique que la population de Toronto atteindra plus de 9&nbsp;millions d’habitants d’ici 2041.Au cours des 10&nbsp;dernières années, le marché immobilier de Toronto s’est accru de 131&nbsp;%.Les prix restent forts – et ce, même si le marché est en baisse et que les condos diminuent le prix de vente moyen des maisons.Un krach? Peu probable. Et dans une perspective à long terme, ce ne sont là que quelques-uns des facteurs qui soutiennent le statut de Toronto en tant que ville de classe mondiale, et qui, par le fait même, favorisent un marché de l’immobilier fort.